Par Ariane TRIFIN
En date du 15 octobre 2013, Nita Raya fêtera son 98ème printemps. Pourtant, elle n’est pas la doyenne des actrices du cinéma français. Il semblerait que ce soit Yvette Lebon (née en 1910) qui détienne ce record de longévité. Les actrices françaises nonagénaires ne sont pas rares en France même si pour certaines, leur nom est tombé dans l’oubli : Rolande Tissier (février 1911), Renée Deneuve/ Simonot (mère de Catherine Deneuve) (1911), Francia Séguy (novembre 1914), Gisèle Casadessus (1914), Annie France (février 1915), Colette Fleuriot (novembre 1916), Hélène Duc (mars 1917), Danielle Darrieux (mai 1917), Suzy Delair (décembre 1917), Moune de Rivel (janvier 1918), Arlette Merry (mars 1918), Patachou (juin 1918), Géori Boue (octobre 1918), Jacqueline Plessis (novembre 1918) (etc.….).
Quant à Nita RAYA, son nom reste associé à celui
de Maurice CHEVALIER dont elle fut la compagne durant une dizaine d’années
(1935-1945). Elle est aussi l’auteure de chansons pour Edith PIAF (1915-1963)
et la partenaire au cinéma de FERNANDEL, de Tino ROSSI ou de RAIMU.
A.
Eléments
de biographie
Actrice,
chanteuse, meneuse de revue aux Folies-Bergère, Nita RAYA (nom patronymique Raïssa BELOFF - JERKOVITCH) (1) est née le 15 octobre 1915, en Bessarabie, dans
la ville de Chisinau (actuellement capitale de la Moldavie) (2). Son lieu de naissance aura probablement
une incidence dans la vie de cette belle brune. En effet, en 1915
Chisinau (ou Kichinev en russe) fait partie de l’Empire Russe mais cette
ville va être annexée à la Roumanie en 1918 (3). Par ailleurs, aux côtés d’Ukrainiens,
d’Arméniens ou de Roumains, on y rencontre bon nombre de juifs. Cette ville est
un lieu de brassage multiculturel. Sa population juive sera décimée au cours de la
Seconde Guerre mondiale (4).
Le lieu de
naissance de Nita RAYA va amener une certaine confusion sur ses origines mais
lui servira par la suite au grè des évènements liés à son
existence.
Les
parents de Nita (Vladimir Beloff et Angelina ou Anna Jerkovitch) sont de milieu
modeste. Le père est tailleur et chauffeur de taxi (5). En 1926, Nita qui a alors 11 ans débarque en France avec sa mère où elle va suivre les cours de danse de la célèbre artiste russe, Olga Préobrajenska
(6)
Le père
resté au pays les rejoindra ultérieurement et la famille, une fois réunie, obtiendra sa
naturalisation.
Bien décidée de gagner sa vie grâce à la danse, Nita Raya commence à courir les cachets et débute
dans le French Cancan d’un cabaret
parisien, « le bal Tabarin » aux côtés de Viviane Romance (7). Un
accident l’empêche de pratiquer la danse pendant quelques mois. C’est
alors qu’elle suit les cours de comédie de René SIMON (8).
Cette
belle et grande brune aux abords sympathiques ne laisse pas indifférents ceux qui l’approchent. Ses débuts au cinéma en 1931 consistent en de
petits rôles de figuration. Au théâtre, elle participe à la création de Marie Galante, (1934) une pièce musicale
de Jacques Deval et Roger Fernay sur une musique de Kurt WEILL (1900-1950). Le
rôle-titre en est tenu par (Odette) FLORELLE (1898-1974) et l’on retrouve
dans la distribution une autre future actrice : Junie ASTOR (1911-1967).
Alors que
Nita RAYA enchaine avec un petit rôle au Théâtre de la Madeleine, dans Broadway, une pièce américaine que
Marlène DIETRICH joua à ses débuts, une rencontre lors d’une soirée va se révéler (9). A l’approche de la cinquantaine vers 1935, Maurice CHEVALIER
(1888-1972) est de retour en France après sa première carrière hollywoodienne
où il a eu principalement pour partenaire l’actrice américaine Jeannette MACDONALD (1901-1965)
sous la direction principalement du réalisateur d’origine allemande Ernst LUBITSCH
(1892-1947) (10).
Comme Maurice
CHEVALIER le rapporte dans ses Mémoires (11), la jeune Nita a 19 ans et lui 46. Une
liaison d’une dizaine d’années va leur apporter à tous les deux de grandes
joies mais aussi des moments d’adversité. L’acteur devient son mentor et lui
apprend à chanter en interprétant ses propres morceaux (12). Cet apprentissage n’est
pas sans rappeler la séquence où Maurice Chevalier chante « Le
Chapeau de Zozo » dans Avec le
sourire (1936) de Maurice TOURNEUR. Ce n’est pas la chanson elle-même,
c'est-à-dire le contenu textuel ou musical, qu'il convient de relever ici dans notre
propos mais bien la manière dont elle est mise en scène du point de vue
gestuel par Maurice et par le commentaire qu’il en fait à propos de la réception
spectatorielle de la chanson (selon la vision de l’artiste). Les propos de Nita
Raya sur sa formation nous font renvoyer à ce film.
Tandis que
Chevalier entame une carrière française avec des films parlants comme L’homme du jour (1936, Julien DUVIVIER),
Nita RAYA débute au Petit-Casino, à Bobino, à l’Européen, à l’ABC. Elle
apparait aussi à l’écran dans des rôles qui restent notables dans sa
filmographie. Ainsi, on la verra chanter dans Ignace (1937, Pierre COLOMBIER) ; et dans Bécassine (1939, Pierre CARON) ou donner la réplique à la star masculine de
l’époque, Tino ROSSI dans Au son des
guitares (1937, Pierre-Jean DUCIS). Ses partenaires sont les plus
grands noms du cinéma de l’époque :
Raimu, Tino Rossi, Fernandel, Madeleine Renaud, Alice Tissot, Andrex,
Charpin, Saturnin Fabre, Edwige Feuillère, Paulette Dubost (etc).
Malheureusement
le spectre de la guerre va mettre fin à la carrière cinématographique de Nita
Raya laquelle vient de fêter ses 24 ans en 1939.
En raison
de ses origines, Nita RAYA doit rendre des comptes à la Gestapo. Elle fournit
des documents censés rédigés en roumain tendant à prouver qu’elle est d’origine russe
catholique orthodoxe (13) mais comme le craint CHEVALIER (14), la menace de dénonciation
est toujours présente. Rappelons aussi que les juifs tombent sous
l’interdiction d’exercer certaines professions artistiques entre autres au cinéma.
Que
l’actrice soit d’origine juive ou non, que les documents qu’elle produise
soient authentiques ou non, toujours est-il que Chevalier relate dans ses
écrits l’existence de faux documents d’identité ainsi que les constants
changements de lieux de résidence sous l'Occupation.
Nita RAYA
et Maurice CHEVALIER se voient contraints d’arrêter toute activité
cinématographique. Le couple ainsi que les parents de Nita (« les vieux »,
comme les appelle Maurice) vivent de manière discrète. Sans doute, faut-il en
chercher les raisons dans le passé hollywoodien de l’acteur et dans les soupçons
pesant alors sur sa compagne.
Nita Raya
fut vraisemblablement un élément clé quant au comportement de Maurice Chevalier durant cette
période, encore qu'il fut loin d'être le seul artiste dans ce cas. Nous pensons à Danielle Darrieux et à son
mari, Porfirio Rubirosa ou à la destinée
tragique d’Harry Baur. A contrario, nous pensons aussi aux « amis »
allemands d’Arletty ou de l’agression de Mireille Balin (qui suspend sa
carrière après 1945).
Faisant
suite aux rumeurs de collaboration, Maurice Chevalier donnera des justificatifs
autant dans ses Mémoires que dans la
presse, en évoquant notamment les origines juives de son ancienne compagne (15). Quant
à Nita Raya, elle donnera des interviews avec parcimonie. En 1954, elle
mentionne dans un journal qu’elle est d’origine
roumaine et évoque avec nostalgie sa « Roumanie natale » (Chisinau
était encore annexée à la Roumanie à l’époque) (16).
Si la fin de
la guerre marque la rupture du couple, les deux artistes restent en bons termes.
Chevalier ressent une certaine lassitude mais Nita a envie de vivre et d’avoir
des enfants. Le 8 fébrier 1949 elle épouse un industriel de 35 ans, Joseph AKCELROD et en mai 1951, un petit Patrick fait la joie des jeunes parents. Toutefois, Nita a la nostalgie de sa carrière
artistique. Nita et Joseph divorceront en 1954 (17).
Durant
cette période, Nita Raya ne retrouve pas pour autant le chemin des studios. Même le film
de Maurice DEKOBRA, La Rafle est pour ce
soir (1953) où elle donne une vague réplique à Armand MESTRAL,
ne permet pas de mentionner un véritable come-back à l’écran. En 1955, Nita Raya demeure essentiellement une meneuse de revue aux
Folies-Bergère, tout comme l’incarnent si bien avant elle, MISTINGUETT
et Joséphine BAKER. Comme ces dernières
(18), Nita Raya n'aura fait qu’un passage éclair au cinéma.
Entre la
fin des années 50 et le début des années 60, on la retrouve enfin dans
l’entourage d’Edith Piaf et de son manager, Loulou (Louis) Barrier. Apparaissant
en première partie des spectacles de la chanteuse, c’est aussi la période où
elle s'affilie à la Sacem en tant qu' auteure de textes de chansons. Deux d’entres
elles seront enregistrées par Piaf en personne dont on commémore cette
année (2013) le 50ème anniversaire de sa disparition.
Nita Raya
écrit « Je m’imagine » sur une musique de Marguerite Monnot et « Toujours aimer », sur la musique
de Charles Dumont.
On retiendra également, la chanson « Pourquoi je l’aime », chantée par
Théo Sarapo sur une musique de Norman Maine.
Le nom de Nita Raya disparait progressivement des
programmes à partir de 1966. Ayant rangé ses paillettes et ses accessoires elle redevient dorénavant Raïssa Beloff.
Certains auteurs
(19) évoqueront à tort le décès de la chanteuse.
Il semble aussi
que Nita Raya soit évoquée dans une récente comédie musicale portée à la
scène : « Dietrich and Chevalier ». A notre connaissance, cette pièce n'a jamais été montée dans les pays francophones.
B.
Nita RAYA
et les hommes
Il est
intéressant de relever la manière dont les hommes percevaient la jeune Nita
Raya dans les années 30 et 40. En effet, sa beauté ne passait pas inaperçue et
c’est donc sur son apparence physique que portent les commentaires. Ses traits
de caractère sont mal connus car autant dans la vie de tous les jours que sur
l’espace écranique, la jeune Nita reste une « femme spectacle ».
C’est ce qui explique sans doute qu’une fois sa beauté physique éteinte, Nita
n’intéressait plus les foules. La femme fatale fait alors probablement place à
la femme tout court. .
Sa liaison
la plus connue et la plus célèbre est celle qu’elle a vécue avec Maurice Chevalier. Lors de leur
rencontre vers 1935, Maurice est loin d’être un débutant. Sa carrière hollywoodienne
venait de lui coûter son divorce d’avec l’actrice Yvonne Vallée. Nita n’est pas
la cause de leur séparation.
Sur sa
jeune compagne, notre CHEVALIER amoureux (20) écrit quelques lignes sur leur
première rencontre et sur son coup de foudre :
« Elle y
jouait un rôle de second plan avec tant de simplicité et elle était d’une si
juvénile beauté que mon intérêt masculin, un peu trop au repos depuis mon
retour d’Amérique, se mit à rebondir. Elle avait dix-neuf ans. Très belle,
brune, superbe plastique et dominant toute cette féminité, une grâce, une
gentillesse naturelle qu’agrémentait encore une intelligence peu commune chez
un semblable « poulet de grains ». Un e sorte de complexe
d’infériorité que je lui sentis dès notre entrée en conversation la rapprocha
encore plus de moi et nos premières entrevues, toutes platoniques, mais si
fraiches et agréables, m’apprirent que mon cœur, si largement mis à
contribution au cours de mon existence amoureuse, avait, malgré tout, gardé un
coin tout neuf pour un sentiment d’une qualité encore inconnue. Elle respirait
la vraie jeunesse. L’atmosphère des coulisses n’avait pas encore eu le temps de
la flétrir et l’avait seulement déniaisée. Elle était une surprise, une
apparition dans ma vie…Je n’avais jamais rencontré dans le monde artistique, un
alliage si inconcevable de beauté, d’esprit et de modestie ».
Mais
Chevalier ne fut pas le seul à succomber aux charmes de la belle. Francis Lopez, le compositeur d’origine
basque dont le nom reste associé aux opérettes chantées par le ténor espagnol,
Luis Mariano parle de Nita comme l’une des femmes qui a marqué sa vie amoureuse
(21).
En 1946, le
jeune Lopez était à la recherche d’interprètes connus qui lui permettraient de
diffuser ses compositions. En proposant des chansons à Maurice Chevalier, Francis
Lopez, qui venait d’avoir 29 ans, fait la connaissance de Nita Raya au numéro
10 de l’avenue Foch à Paris. C’était au lendemain de la guerre.
Ainsi dans
son autobiographie de dire (22) :
« Mi-femme
enfant, mi-femme fatale, bien plus jeune que Maurice, qui portait toujours beau
malgré sa cinquantaine avancée, elle était la juste récompense d’une star
internationale ».
« Jambes
interminables, hanches rondes et poitrine haute, Nita Raya nous regardait de
ses yeux noirs, avec un air soumis qui laissait croire à chaque homme qu’il
pouvait être le seul, l’unique…. Pourtant, elle n’aguichait pas. Simplement, elle était une machine à faire
rêver. Involontairement, ce qui est
pire. Et, c’est pour ça qu’elle devint
la vedette des Folies-Bergère ».
Le
compositeur, qui écrivit des chansons pour Nita Raya, affirme avoir eu une
liaison très brève avec la compagne de Chevalier. Peut être faut il y voir les
véritables raisons de la rupture entre Chevalier et Nita Raya.
Après son mariage
puis son divorce d’avec Joseph AKCELROD,
on retrouve Nita dans l’entourage d’Edith Piaf et de son manager, Louis dit « Loulou » BARRIER.
C. Filmographie
1931
- Olive
se marie ; moyen métrage
1933 :
-Primerose de René Guissart, avec
Madeleine Renaud
1934 :
-L’école des contribuables de René
Guissart avec Armand Bernard
1934 -Le
Père Lampion de Christian Jaque, avec Françoise Rosay
-Malabars de René Jayet, court
métrage avec Léon Bary
1935 :
Et moi j’te dis qu’elle te fait de l’œil
de Jack Forrester, avec Colette Darfeuil
1935 :
Lucrèce Borgia d’Abel Gance, avec
Edwige Feuillère
1935 :
Sacré Léonce de Christian Jaque, avec
Armand Bernard
1935 :
La sonnette d’alarme de Christian
Jaque, avec Josette Day
1935 :
Sous la griffe de Christian Jaque,
avec Constant Remy
1935 :
-Le roi des gangsters de Maurice
Gleize, court métrage avec Jim Gérald
-Sans elle de M. Delric, court métrage, avec Jacqueline Daix
1936 :
Au son des guitares/loin des guitares
de Pierre- Jean Ducis, avec Tino Rossi
1936 :
Œil de Lynx détective de Pierre Jean
Ducis, avec Alice Tissot
1937 :
Chipée/ Coup de foudre de Roger Goupilières avec Victor Boucher
1937 :
Ignace de Pierre Colombier, avec
Andrex, Charpin, Alice Tissot, Claude May
1937 :
Les Rois du sport de Pierre
Colombier, avec Raimu
1938 :
Bécassine de Pierre Caron, avec
Paulette Dubost
1939 :
Entente cordiale de Marcel L’herbier,
avec Gaby Morlay
1953 :
La rafle est pour ce soir de Maurice
Dekobra, avec Blanchette Brunoy, Armand Mestral
Notes de bas de page
(1)
Nom patronymique confirmé par Grégoire
Akcelrod, petit-fils de l’actrice, également par la Sacem et par la BnF
(bibliothèque nationale de France).
(2)
Consultation du site http://www.Imdb.com,
http://www.les gensducinéma.com
(3)
Annexion de la ville de Chisinau par la
Roumanie, voir le site
http://www.larousse.fr/encyclopedie/pays/Moldavie/133596
(4)
voir : http://www.larousse.fr/encyclopedie/pays/Moldavie/133596
(5)
Suivant les entretiens avec Grégoire Akcelrod,
op.cit.
(6)
Olga Préobrajenska, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Olga_Preobrajenska
(7)
Germaine Ramos, art. « Nita Raya » in
La Semaine radiophonique, 24 novembre
1946, n°47, p.2.
(8)
Monique Galy, art. « interview de Nita
Raya », in Samedi soir, 24
décembre 1954.
(9)
Maurice Chevalier, « les tempes
grises », in Ma route et mes
chansons volume 3, (Mémoires), Ed. Julliard, Paris, 1946.
(10)
Ernest Lubitsch a réalisé plusieurs films
mettant en scène le couple vedette MacDonald-Chevalier, http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Chevalier
(11)Maurice
Chevalier, « les tempes grises », in Ma route et mes chansons, volume 3, (Mémoires), Ed. Julliard,
Paris, 1946.
(12)
Monique Galy, art. « interview de Nita Raya » in Samedi-soir, 24 décembre 1954.
(13)Suivant
entretiens avec Grégoire Akcelrod, op.cit.
(14)
Maurice Chevalier, « Les tempes grises », in Ma route et mes chansons, volume 3 (Mémoires), Ed. Julliard, Paris,
1946.
(15)
Tullio Menichelli, art. « Maurice Chevalier : Mes dix années d’amour
avec Nita Raya», in La Presse-magazine,
juillet 1962, p. 1, 6-7.
(16)
Monique Galy, art. « Nita Raya », in Samedi-soir, 24 décembre 1954.
(17)
Monique Galy, art. « Nita Raya », in Samedi-soir, 24 décembre 1954.
(18)
Citons les films suivants : concernant Mistinguett, elle apparait dans un
seul film parlant : Rigolboche,
(1936, Christian-Jaque). Concernant Joséphine Baker, deux films sont à
mentionner : Zouzou (1934, Marc
Allégret), avec Jean Gabin et Princesse
Tam Tam (1936, E.T. Gréville) avec Albert Préjean.
(19)
Le décès de Nita Raya est mentionné in Régine, Mes P’tits Papiers, Mémoires, Ed. Pauvert, 2002 et Miguel Azzopardi,
qui relève l’année 1966 comme date de décès dans son ouvrage intitulé, Le Temps des vamps – 1915-1965, cinquante
ans de Sex appeal, Ed. l’Harmattan, 1997.
(20).
Maurice Chevalier, « tempes grises », in Ma Route et mes chansons, tome 3, Ed. Julliard, p. 16.
(21)
Francis Lopez, Flamenco, la gloire et les
larmes, Presses de la Cité, Paris, 1987, p. 91
(22)
Francis Lopez, idem.
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